Helvetia vous appelle !

Combien de conseillères aux États seront élues pour siéger dans notre pays ?

Les parieuses et parieurs pensent : 13 Pariez maintenant !

Sur quelle proportion de femmes au Conseil national pariez-vous ?

Les parieuses et parieurs pensent : 46% Pariez maintenant !

Combien de femmes feront leur entrée au Parlement fédéral le 22 octobre ?

Les parieuses et parieurs pensent : 20 Pariez maintenant !

Les élections fédérales ont lieu tous les quatre ans ...

... et 2023 est notre prochaine chance de poursuivre le réajustement qui a commencé en 1971 avec l'introduction du droit de vote et d'éligibilité des femmes. Aujourd'hui encore, nous n'avons pas atteint l'objectif d'une représentation adéquate et démocratique des femmes et des hommes au Parlement suisse. Il est temps de faire le grand pari d'Helvetia avec les président-e-s de parti !

Les partis ont les cartes en main

Pour que les femmes puissent influencer activement les lois de notre pays dans le cadre d'une fonction, elles doivent tout d'abord être élues. Les électeurs et électrices ont bien entendu un rôle important à jouer. Mais ce sont les partis qui décident qui entre dans la course et avec quelle position de départ. Ce sont eux qui influencent de manière décisive si, à l'avenir, davantage de femmes participeront à l'écriture des lois suisses ou non. Les partis cantonaux établissent les listes électorales le jour de leur assemblée générale et facilitent ou freinent la participation des femmes.

Helvetia milite, mobilise et appelle les femmes à rejoindre les différents partis de Suisse et les incite à se porter candidates. Les dernières élections de 2019 l'ont démontré : Si les politiciennes sont nombreuses à se présenter et occupent des places de choix sur les listes, alors de nombreuses femmes seront élues - et ce, sans quota.

La poignée de main avec les président-e-s de parti

Pour les partis, cela signifie avant tout de nouvelles candidatures féminines dans leurs rangs. Et ils y gagnent ! Parce que les partis le savent bien : Les nouvelles membres d'aujourd'hui sont les conseillères communales, cantonales, nationales, aux États ou fédérales de demain !

Et ce n'est pas tout : La démocratie suisse s’améliorera si elle représente mieux sa population au Parlement. La part des femmes dans la population suisse n'est pas de 42%, mais bien de 50%. Et c'est pourquoi Helvetia, la mère de la patrie et icône de la démocratie suisse, invite les président-e-s de parti à faire le grand pari avec elle pour que la Suisse soit une meilleure démocratie lors des élections d'octobre 2023 !

Les différents partis ne sont pas confrontés aux mêmes situations de départ- mais ce n'est que si tous se mobilisent pour atteindre cet objectif que davantage de femmes feront effectivement de la politique dans la Berne fédérale lors de la prochaine législature et que la population suisse aura une représentation réellement conforme à la démocratie.

Helvetia lance les paris pour une meilleure démocratie ! Elle vous invite à lui serrer la main, chères présidentes et chers présidents de parti. Pour quel pari vous engagez-vous ?

Balthasar Glättli: « Nous (les Vert-e-s) atteignons au moins 50 pourcents de femmes dans le groupe parlementaire du Palais fédéral »


Mattea Meyer: « Nous (PS) nous présentons avec des listes 50/50 - comme toujours »

Jürg Grossen: « Nous (pvl) misons 50/50, autant de femmes que d'hommes au Palais fédéral »

Gerhard Pfister: « 50/50 aux meilleures places sur les listes et un total de femmes sur les listes plus élevé qu'en 2019 - c'est le pari du Centre ! »

Thierry Burkart: « Nous portons à 40% la proportion de femmes au sein du groupe parlementaire fédéral du PLR »

Marco Chiesa: « L'UDC présente plus de candidates sur ses listes qu'en 2019 »

Lilian Studer: « Nous (PEV) présentons toujours au moins 40% de femmes sur les listes dans tous les cantons »


Top, les paris sont lancés !

Die Wetten der Parteipräsidien
d.g.à.d: Lilian Studer et Marianne Streiff-Feller (PEV), Gerhard Pfister et Marie-France Roth-Pasquier (Centre), Thierry Burkart et Susanne Vincenz-Stauffacher (PLR), Kathrin Bertschy et Jürg Grossen (PVL), Lisa Mazzone, Maya Graf et Balthasar Glättli (Verts), Min Li Marti und Mattea Meyer (PS), Céline Amaudruz, Marco Chiesa und Diana Gutjahr (UDC)